L’investissement a connu un net rebond au Maroc en 2024, porté par la relance des projets différés et les grands chantiers publics. Toutefois, selon l’économiste Mohammed Jadri, cette dynamique, largement soutenue par l’État, ne reflète pas encore une généralisation de l’investissement productif privé, ce qui explique un rendement encore limité en termes de croissance et d’emplois.