La publication prétendait qu’un mineur âgé de 16 ans, Aymane (B), avait déclaré au tribunal avoir été violé à tour de rôle par des personnes qu’il n’a pas identifiées précisément, mais plutôt en faisant allusion aux fonctionnaires de la police chargés de l’enquête, a indiqué la DGSN dans un communiqué.
Afin d’éclairer l’opinion publique et de démentir ces rumeurs diffamatoires qui attribuent aux services de sûreté des informations mensongères, la DGSN affirme que les services de la police d’Imzouren n’ont présenté aucun mineur, portant l’identité mentionnée dans le post des réseaux sociaux, devant les autorités judiciaires compétentes en 2017 et 2018 et que les registres administratifs et judiciaires tenus par les services de sûreté démentent toute enquête avec un mineur portant la même identité.
Les services de la sûreté nationale réaffirment ne pas avoir reçu de plainte ou instructions des instances judiciaires compétentes au sujet des déclarations concernant les allégations mentionnées. Ils indiquent, en revanche, qu’il s’agit de rumeurs systématiques visant à nuire aux fonctionnaires de la sûreté nationale, faisant savoir qu’ils ont le droit de recourir à la justice contre ceux qui ont relayé ces fausses informations.