Sur Twitter les internautes ont suivi la soirée électorale qui a donné le RNI vainqueur. Extraits.
Le RNI fête la victoire de Aziz Akhannouch à Agadir. pic.twitter.com/98uSE6vN4n
— Laarabi (@nawfal) September 8, 2021
Le RNI + PAM ont la majorité à eux 2, pas besoin de l’istiqlal ?
— Reda (@Mouzarra) September 9, 2021
"le RNI serait arrivé premier devant le PJD et le PAM à Kénitra"
— Gloria 🥑 (@scraboutcha__) September 9, 2021
Des éléments pour comprendre pourquoi le RNI-PAM-Istiqlal en tête : leurs trois dirigeants sont arrivés après 2016. Ils ont restructuré leurs partis,mis de nouvelles têtes, fait un travail souterrain et silencieux de prospection des notables,l’arme fatale de ces élections
— Abdellah Tourabi (@Atourabi) September 9, 2021
Vous essayez de rationaliser le vote. Quand je vois des gens qui votent FGD en 2018 et RNI en 2021 sans réaliser la bipolarité de leur grand-écart expliquez moi la logique idéologique.
— Toinette (@ABoreala) September 9, 2021
Humilié par les urnes, qu’adviendra-t-il d’El Othmani et de son parti le PJD? Les twittos ont déjà une petite idée.
Même à Dcheira Jihadia le PJD a perdu. 😭
— imad stitou (@StitouImad) September 9, 2021
au verso du papier de benkiran:
— H.U.S.T.L.E.R (@Schlahbi) September 9, 2021
- i6ro 7lib
- jouj bidates
- drhem khmira
- tops 1L
- self mrat ssi benkiran
- maruja pic.twitter.com/7dRMsFvGbu
C’est un vrai séisme politique et électoral. Le PJD qui a dominé pendant 10 ans la vie politique marocaine perd 90% de ses sièges. Ce n’est plus un vote sanction mais une mise à mort électorale par les urnes et par ceux qui ont ont voté pour lui depuis des décennies.
— Abdellah Tourabi (@Atourabi) September 9, 2021
Raclée historique pour le PJD aux communales à Oujda après dépouillement de près de 60% des voix exprimées... Ce résultat signifie également deux sièges au parlement en moins...
— Ablilosa 🇵🇸🇲🇦🇩🇿 (@ablilosa) September 8, 2021
RNI et PAM au coude à coude loin devant.
No comment pour PSU et FGD... pic.twitter.com/5TuXBAzJKP
France: début du procès des inculpés dans les attentats de Paris du 13 novembre 2015. Un des principaux accusés, Salah Abdeslam, a attiré encore un peu plus les projecteurs en renouvelant son allégeance à Daech.
Salah Abdeslam: "Tout d'abord, je tiens à témoigner qu'il n'y a pas de divinité à part Allah et que Mohamed est son messager".
— Agence France-Presse (@afpfr) September 8, 2021
"On verra ça plus tard", lui a répondu Jean-Louis Périès, président de la cour d’assises spéciale#AFP pic.twitter.com/mHwwOYz92S
Quand #SalahAbdeslam a répondu « j’ai tout quitté pour devenir un soldat de l’état islamique » à la question « qu’elle est votre profession » le procureur à répliqué « ah bon ? J’ai interimaire sur ma fiche » Masterclass 😭
— LiNk (@clementmathieu2) September 8, 2021
Salah Abdeslam le doigt levé en direction du président, au sujet de ses conditions de détention : “ça fait six ans qu’on est traité comme des chiens !”.
— William Molinié (@WilliamMolinie) September 8, 2021
Une voix dans le public : “parce que t’es un porc !”.#proces13novembre
#proces13novembre Jour 2. #SalahAbdeslam vient d'apparaître dans le box des accusés. Assis à gauche, au plus près de la Cour. Impassible. vêtu d'un sweat blanc, bordeaux et bleu. Regard fixe et vide. Masque noir. Après ses provocations d'hier, il a donc décidé de comparaître. /8 pic.twitter.com/E4i17k0nZF
— 𝔾𝕦𝕚𝕝𝕝𝕒𝕦𝕞𝕖 𝔸𝕦𝕕𝕒 (@GuillaumeAuda) September 9, 2021