Sur hautes instructions du roi, Chef suprême et Chef d'Etat-Major général des Forces armées royales (FAR), la Princesse Lalla Meryem, présidente de la Fondation Hassan II pour les Œuvres sociales des anciens militaires et anciens combattants (OSAMAC), a présidé, mercredi à l'État-Major général des FAR, la 7ème réunion du Conseil d’administration de cette Fondation.
A son arrivée à l'Etat-Major général des FAR, la princesse Lalla Meryem a été accueillie par le Général de corps d'armée, Inspecteur général des FAR et président délégué de la Fondation, avant de passer en revue un détachement du Bataillon du Quartier Général des FAR qui rendait les honneurs. La princesse a, par la suite, été saluée par les membres du Conseil d'administration de la Fondation.
En application des textes régissant la Fondation Hassan II pour les OSAMAC, le Conseil d'administration a examiné le rapport moral et financier des exercices de 2013 à 2017. Il a ensuite pris connaissance des actions entreprises au titre de l'exercice 2018.
Le Conseil d'administration a également étudié et approuvé le programme des actions envisagées pour l'année 2019, ainsi que le budget nécessaire à sa réalisation.
La Fondation Hassan II pour les OSAMAC a commencé ses activités à partir de 2003, date à laquelle Sa Majesté le Roi Mohammed VI a bien voulu en confier la présidence effective à la princesse Lalla Meryem.
Dans le but d'inscrire l'action de la Fondation dans une dynamique de proximité, le roi, Chef suprême et Chef d'Etat-Major Général des Forces armées royales, a ordonné sa restructuration en 2005.
Depuis cette date, 22 délégations régionales, réparties dans les différentes régions du Royaume, et 4 antennes médicosociales implantées au sein des hôpitaux militaires ont été créées.
La Fondation Hassan II pour les OSAMAC continue à bénéficier, conformément aux dispositions en vigueur, aux anciens combattants, aux anciens militaires et à leurs familles, à travers des mesures ciblées et des partenariats mettant à contribution les différents intervenants sociaux militaires, notamment la Mutuelle des FAR, l'Inspection du Service de Santé et l'Agence de logement et d'équipement militaires ainsi que des acteurs publics et privés.