De nombreux habitants de la Colombe Blanche sont sortis dans la rue pour crier leur colère après la décision de la société gestionnaire du transport collectif urbain, Vitalis, de mettre des barrières de fer dans les bus, empêchant les personnes à besoins spécifiques de les utiliser. Ils ont qualifié cette décision de «scandaleuse» et «honteuse».
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Selon les sources de le360, la pression de la société civile ainsi que l’intervention de plusieurs parties aussi bien au niveau local que national pourraient faire revenir la société sur sa décision. Dans le cas contraire, les habitants de la ville risqueraient d’accentuer leur pression, en observant des sit-in de protestation.
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Contactée par le360, une source au sein du Conseil de la ville nous a informés que des propositions ont été soumises aux responsables de Vitalis pour revoir leur décision. «Des réunions sont prévues la semaine prochaine pour trouver une issue à cette problématique», nous déclare-t-on.
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Plusieurs voix se sont élevées pour demander au Conseil de la ville de revoir le contrat le liant à la société délégataire de gestion du transport collectif urbain par autobus, considérant sa décision anti-droits de l’Homme et portant atteinte à la dignité des personnes à besoins spécifiques.
