«Le détenu concerné jouit de tous les droits garantis par la loi à l'instar des autres», a déclaré la DGAPR dans un communiqué, notant que ce dernier use des plaintes, des grèves de la faim fictives et de l'automutilation pour obtenir des privilèges et exercer une pression sur les fonctionnaires afin de les dissuader d'accomplir leur devoir tel que prévu par loi.
A ce propos, l'administration de la prison a adressé des correspondances au parquet général concernant quatre actes d'automutilation et deux grèves de la faim fictives, a souligné le communiqué.
Le détenu concerné bénéficie des visites familiales à l'instar des autres prisonniers et en a reçu 12 depuis son incarcération, indique la même source, précisant qu'il n'a déposé actuellement aucune lettre annonçant une grève de la faim et pend ses repas dans des conditions normales.
«Concernant la visite de son frère, hier, elle a eu lieu à 13h50, qui est un horaire acceptable eu égard au nombre des visiteurs affluant à cet établissement par ordre de priorité», indique-t-on.
La DGAPR a dénoncé la propagation de ces allégations visant à nuire à la réputation de cet établissement et le recours à ce genre de pratiques pour faire pression sur l'établissement et ses fonctionnaires, affirmant qu'elle œuvrera à l'exécution stricte de la loi et la prise de toutes les mesures nécessaires pour garantir la sécurité des personnes et la sûreté de l'établissement.