Alors comme ça, il ne s’agirait plus de 58 vidéos d’ébats entre Monsieur Zakaria et Madame Moumni… mais juste de 57 photos! Décevant! Dans sa dernière prose sur sa page Facebook - où il relate sa performance de droits de l’hommiste testostéroné, prêt à transformer un débat en combat – l’ex champion de light contact revoit ses ambitions à la baisse et revient sur une partie de ses affabulations initiales, ses mensonges hard corps. Après avoir été raconter à l’AFP qu’on le menace de dévoiler 58 vidéos – montages, inspirées de son séjour en couple dans un hôtel de Rabat, Super Moumni s’est peut-être rendu compte que de tels élucubrations sont dignes d’un môme de banlieue qui fait sa «caira» frimeur. Les vidéos sont devenues des photos et si ça se trouve, dans un prochain statut Facebook, les photos deviendraient des dessins de Manga… Tout est bon pour tenter de crédibiliser son histoire à dormir debout dont il se sert (et se fait instrumentaliser au passage) pour faire du chantage au régime marocain!
Car ce n’est pas la première fois que le champion du racket s’emmêle les pinceaux: A chaque récit, il change de version. Il n’y a qu’à se remémorer toutes les variantes de sa supposée séance de torture dans un centre de détention secret au Maroc: Un coup, il avait défait ses liens et arracher sa cagoule pour voir Abdellatif Hammouchi assistant à la séance; un autre c’est le bandeau sur ses yeux qui était mal placé; un autre scénario voudrait qu’à force de s’agiter, ce même bandeau soit tombé… Dans cet exercice, Moumni est d’une créativité foisonnante : il sait compter jusqu’à 58 versions différentes! Et pour cause, son assurance de mythomane n’a d’égale que le professionnalisme de l’AFP, qui - au vu des dernières «révélations» dans ce dossier auquel elle semble porter un grand intérêt- ne manquera certainement pas de publier un rectificatif.