Un avocat obnubilé par ses astronomiques honoraires et sa notoriété et une «activiste» algéro-américaine dont le moteur est la haine viscérale du Maroc.
Rodney Dixon et Karima Bennoune, puisque c’est d’eux qu’il s’agit, ont été en grande partie derrière le rapport/avis concernant l’affaire Bouachrine, qui a demandé la libération immédiate, voire l’indemnisation du journaliste poursuivi pour de graves accusations qui lui avaient valu une condamnation à 12 ans de prison ferme.
Le premier est avocat rattaché au célèbre cabinet londonien Temple Garden Chambers.
Engagé par la famille Bouachrine, Rodney Dixon a servi surtout comme conseiller juridique en contrepartie de plusieurs dizaines de milliers d’euros.
Toute cette cagnotte juste pour pondre quatre orphelins communiqués reproduits essentiellement sur Akhbar Al Yaoum, le journal-navire amiral de la société éditrice propriété de Taoufik Bouachrine.
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Durant tout le procès, Rodney Dixon s’était rendu une seule fois au Maroc.
Devant la Cour d’appel de Casablanca, qui jugeait l’affaire, il n’a pas pipé un seul mot.
La raison: cette terreur du barreau ignore tout du système judiciaire marocain.
Pour se rattraper, et justifier ses mirobolants honoraires, lui et sa consoeur française Rachel Lindon, on menacé d’internationaliser l’affaire Bouachrine. Comprenez: traîner dans la boue l’image du Maroc et ses institutions (judiciaires en premier lieu).
Rodney et Karima
Depuis plusieurs mois, l’avocate française Rachel Lindon a disparu dans la nature. Mais pas Rodney Dixon qui, par quelque sombre acquit de conscience, s’est mis en tête d’assurer le service après-vente, sans doute avec l’espoir de percevoir le solde de ses honoraires.
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Et pour l’épauler dans cette entreprise, il tombe sur le «nègre» idéal.
Nous avons nommé Karima Bennoune, président-rapporteur du Groupe de travail sur les détentions arbitraires (GTDA), celui-là même qui a rédigé et diffusé le rapport sur l’affaire Taoufik Bouachrine.
Que ce soit à l’ONG Freedom Now où elle milite ou au GTDA, l’Algéro-américaine ne rate aucune occasion pour tirer sur le Maroc et ses institutions. Quitte à défendre l’indéfendable.
C’est elle qui avait pris cause, avec un terrible acharnement, pour le dénommé Mohamed Banbari, un individu impliqué dans les sanglants événements de septembre 2011 à Dakhla qui avaient fait 9 morts dont deux membres des forces de l’ordre. Suite à quoi il a été condamné à six ans de prison ferme.
Karima Bennoune, pour «faire mal» au Maroc n’a pas hésité à défendre ceux qui ont du sang sur les mains comme d’autres, avant elle, ont défendu bec et ongles les égorgeurs de Gdeïm Izik.
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Actuellement, elle a jeté son dévolu sur un autre individu (un autre droit commun, certains semblent l’oublier sciemment) jugé pour de très graves accusations.
Quand Karima rencontre Rodney, cela donne un cocktail (mélange de rancoeur et de vénalité) : le rapport du GTDA incohérent et plein de lacunes.L’avocat britannique a servi d’encrier à la plume de Karima Bennoune.
Le premier a chuchoté dans l’oreille de la deuxième et au diable une dizaine de femmes victimes d’atroces pratiques et traitements !
Au diable aussi la crédibilité d’un organe onusien comme le GTDA ! Ce qui compte pour l’Algero-américaine, c’est d’assouvir sa haine contre le Maroc.