Réagissant à l'adoption définitive du projet de loi-cadre sur la réforme de l'Education nationale (projet de loi-cadre 51.17), Aziz Akhannouch a montré du doigt l’aile dure du PJD, qui a tout fait pour bloquer ce projet.
Abdelilah Benkirane, le chef de file de cette opposition, avait même demandé à El Othmani de démissionner au moment où ce texte de loi était à l’examen.
"Il ne faut pas faire de surenchères sur les langues officielles, le débat a été tranché à ce propos par la Constitution", a déclaré le président de ce parti centriste, ajoutant que "l'avenir des élèves et des étudiants ne devrait pas être hypothéqué par l'échec du système éducatif national".
"Le vrai défi qui se pose maintenant concerne la réalisation de cette stratégie sur le terrain, dans les écoles et tout le monde y est convié, notamment la société civile, qui doit assumer ses responsabilités", a affirmé Aziz Akhannouch, qui a salué au passage tous ceux qui ont contribué à l'élaboration de cette stratégie, notamment le ministre de l'Education nationale, Saaïd Amzazi, qui a défendu bec et ongles le projet de loi 51.17.