Pour cette mission, entreprise à sa propre initiative entre le 3 et 9 septembre 2018, la délégation était conduite par Antonio Stango, le président de la Fédération italienne des droits de l'Homme. Elle a rencontré des représentants de la société civile dont le CNDH (Conseil national des droits de l'Homme) , des élus locaux, des chefs de tribus, avant de visiter des installations socio-économiques.
Au terme de cette visite, Antonio Stango a affirmé à le360 qu'un rapport détaillé sur cette mission sera rendu public prochainement en Italie. "Il y a des imperfections, mais globalement la situation des droits de l'Homme est correcte", a-t-il estimé.
Pour sa part, Margherita Catiolico, avocate et membre d'une ONG italienne, a observé que la femme sahraouie jouit de tous ses droits, "sans restrictions constatées". Composée aussi de Domenico Letizia, défenseur des droits de l'Homme, la délégation a quitté dimanche le Maroc pour Rome.