"Après un débat fructueux sur ce projet [le fonds de solidarité contre les catastrophes, Ndlr] nous avons décidé de reporter son examen à une date ultérieure", a déclaré le porte-parole du gouvernement, Mustapha El Khalfi, qui précise que le texte instaure une contribution financière importante de l'Etat fixée "à 80%".
Le reste, soit 20%, de ce Fonds de solidarité sera alimenté par une taxe parafiscale.
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Pour El Khalfi, "le débat s'est arrêté jeudi [18 avril, Ndlr] sur la question de savoir quel taux faut-il appliquer à cette taxe, est ce 1%, 2% ou 3%".
Ce Fonds de solidarité contre les catastrophes naturelles assurera un régime de couverture contre ces évènements tels que les tremblements de terre, les inondations, la sécheresse...
