«C’est le premier Conseil national d’un parti politique au Maroc depuis le déclenchement de la pandémie et l’état d’urgence», affirme cette source proche du Rassemblement national des indépendants (RNI). Sur les 321 membres du parlement du parti, pas moins de 276 ont répondu au «call» sur la plateforme Zoom pour ce conclave politique qui se poursuit toujours en direct sur YouTube.
Le discours d’ouverture prononcé par Aziz Akhannouch a été une occasion pour le président de défendre son mandat, démarré avec le Congrès exceptionnel de mai 2017.
Lire aussi : RNI. «100 jours, 100 villes», le compte est bon
Tournée des 13 régions avec la tenue de congrès, élaboration de la «voie de confiance» qui fait office de document de référence de la vision du parti, organisation d’ateliers de démocratie participative dans 100 villes, structuration des organisations parallèles… Quasiment toutes les actions de politique de proximité ont été énumérées dans l’allocution du chef de file du RNI.
Une manière de rappeler le dynamisme de cette formation sur les 4 dernières années. Mais sans doute aussi, de couper court aux quelques voix dissonantes dans ses rangs.