«S’agissant particulièrement de la dénommée Sultana Khaya, il convient de se demander depuis quand les militants des droits de l’homme sont en treillis militaire, avec la Kalachnikov en bandoulière?», s’est interrogé l’ambassadeur marocain. Dans ce cadre, Omar Hilale a présenté des preuves accablantes au Conseil de sécurité, sous forme de photos montrant cette séparatiste, à la solde de l’Algérie et du Polisario, en tenue militaire et maniant une Kalachnikov.
De même, l’ambassadeur a affirmé aux membres du Conseil de sécurité que «cette personne n’est nullement une militante pacifique des droits de l’homme, mais une activiste du groupe séparatiste armé Polisario, qui a participé à plusieurs cours et exercices militaires dans les camps de Tindouf, en Algérie», ajoutant que Sultana Khaya «a appelé et continue d’inciter à la violence armée contre les civils au Sahara marocain».
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En outre, Omar Hilale a fustigé les «allégations récurrentes fallacieuses sur la situation des droits de l’homme au Sahara marocain, colportées par le groupe armé le Polisario».
«Ces mensonges sont contredits par la résolution 2602, adoptée le 29 octobre 2021, par laquelle le Conseil de sécurité s’est, une nouvelle fois, félicité des mesures et initiatives prises par le Maroc pour renforcer la promotion et la protection des droits de l’homme au Sahara marocain, du rôle joué par les commissions régionales du Conseil national des droits de l’homme du Maroc à Dakhla et à Laâyoune et de l’interaction du Maroc avec les mécanismes du Conseil des droits de l’homme de l’ONU», a-t-il réaffirmé.