Hélène Legeay, l’ACAT girl, sévit à nouveau

Hélène Legeay, la très narcissique responsable Maghreb à l’Action des chrétiens pour l'abolition de la torture (ACAT). . DR

Bien qu’elle ait eu droit à la parole lors du reportage consacré par Le Supplément de Canal+ aux relations franco-marocaines, la responsable Maghreb à l’ACAT n’a pas manqué de critiquer les déclarations de hauts responsables français juste parce qu’elles sont favorables à l’égard du Maroc.

Le 02/03/2015 à 21h04

Et voilà qu’Helène Legeay vient encore une fois confirmer son côté narcissique. Avec sa hargne habituelle, l’ex responsable Maghreb à l’Action des chrétiens pour l'abolition de la torture (ACAT) a commis de nouveaux post sur Facebook pour critiquer les déclarations de représentants français de haut niveau justes à l’égard de l’attitude du royaume. Jacques Lang, Laurent Fabius et l’avocat du Maroc, Yves Repiquet, en prennent pour leur grade via les commentaires à l’emporte-pièce de cette spécialiste du militantisme virtuelle. Pourtant, elle a eu elle-même droit à la parole dans le même reportage où toutes ces personnalités sont intervenues. Mais peut-être que c’est sa manière de maquiller son manque de charisme qui ne lui a pas valu plus de 10 secondes de sonore dans ce magnéto.

Sous son air (faussement) indigné, l’ACAT girl ne cesse de dénoncer de supposés cas de torture au Maroc. Pourtant celle qui se présente comme une militante des droits de l’homme devrait se montrer plus respectueuse de la présomption d’innocence. Ses accusations et celles de son association à l’égard du patron du contre-espionnage marocain, Abdellatif Hammouchi, ne sont basées que sur des témoignages de repris de justice. A part les élucubrations de ces personnages peu crédibles -et sans aucun doute instrumentalisés par des parties hostiles au Maroc- l’ACAT comme sa responsable n’apportent pas le début d’une preuve sur ces allégations de torture. Alors qu’une association sérieuse et crédible aurait pris la peine de mener une enquête préalable avant de prendre pour argent comptant des témoignages calomnieux.

Le royaume a bien donné à l’association l’occasion de révéler au grand jour les preuves de ce qu’elle avance après avoir assigné cette ONG en justice. Mais l’ACAT n’a pas daigné comparaître devant la justice marocaine. Elle a opposé une fin de non recevoir à sa citation de comparaître le 26 février et se contente juste de publier des communiqués incendiaires. C’est que l’association sait que cette supposée cause qu’elle défend corps et âme n’est qu’une démarche pour torpiller les relations franco-marocaines. Et elle a même quelque peu réussi puisqu’elle a été effectivement à l’origine de la brouille diplomatique entre Paris et Rabat qui a duré pratiquement un an. Maintenant que la coopération entre les deux pays a repris son cours normal, l’ACAT girl enrage. Elle sent sans doute qu’elle est en train de perdre de sa célébrité éphémère qui, pendant un laps de temps, lui a donné l’impression de jouer dans la cour des grands.

Par Mohamed Chakir Alaoui
Le 02/03/2015 à 21h04