Ce document fait partie d'une série de rapports par lesquels l'organisation adresse des accusations tendancieuses, montées de toutes pièces dans une tentative de minimiser les acquis réalisés par le Royaume dans le domaine des droits de l'Homme, indique un communiqué de la Chambre publié à l'issue de la réunion des chefs de groupes.
Les composantes de la première Chambre ont appelé Amnesty International à rehausser son travail d'investigation, pour se mettre au niveau de la noble mission qui est la sienne, et à ne pas mettre à profit sa position pour tenter de porter préjudice à l'image du Maroc.
La réunion a été l'occasion de passer en revue les efforts du Royaume en faveur des droits de l'Homme, une politique placée au rang des priorités par le Maroc sous la conduite du roi Mohammed VI, ajoute-t-on de même source.
Sur le même registre, la Chambre des représentants a souligné l'engagement de toutes ses forces politiques à aller de l'avant dans la promotion des droits humains par le biais des législations nationales. Il s'agit notamment de promouvoir l'adhésion aux conventions internationales y afférentes, de consolider les rôles des institutions ouvrant pour la promotion des droits de l'Homme ainsi que les mécanismes de contrôle parlementaire en la matière.
Par ailleurs, l'accent a été mis entre autres sur l'ordre du jour de la séance des questions orales prévue le 13 juillet et consacrée aux secteurs de l'agriculture, de l'équipement, du transport, du travail et de l'insertion professionnelle.
Dans le contexte de la préparation de la séance mensuelle dédiée aux questions de politique générale, programmée le 20 juillet, les participants se sont penchés sur plusieurs propositions relatives à l'étape actuelle, lesquelles seront présentées à nouveau au cours de la prochaine réunion.
Ils ont aussi débattu de la rencontre de communication consacrée aux éclaircissements du gouvernement au sujet du rapport d'Amnesty en date du 22 juin 2020 en présence du ministre d’État chargé des droits de l'Homme et des relations avec le Parlement et du ministre des Affaires étrangères, de la coopérations africaine et des MRE.
A cet égard, le président de la Chambre des représentants a indiqué que les commissions concernées tiendront des réunions à l'issue de cette rencontre de communication.