Afin "d’éclairer l’opinion publique sur les allégations et les accusations tendancieuses contre le wali", le communiqué conjoint des ministres de l’Intérieur et de l’Economie et des finances souligne que "la parcelle, objet de cette campagne de diffamation, fait partie d’un lotissement destiné aux fonctionnaires et aux commis de l'Etat depuis le règne de feu SM le Roi Hassan II, que Dieu ait son âme".
"Le prix et les conditions d’acquisition de ces parcelles du domaine public sont fixés avec précision par un décret du Premier ministre du 26 décembre 1995 et il aurait été plus correct de demander l’amendement de ce texte au lieu de diffamer un haut responsable reconnu par sa compétence et son dévouement pour l’intérêt général", ajoute le communiqué conjoint, rappelant que "l’amendement d’un décret ne peut s’opérer qu’à travers un autre décret selon la règle juridique".
"Il devient clair, si besoin est, qu'il s'agit d'une campagne électorale prématurée visant à engranger des gains électoralistes étriqués sous prétexte de mettre en œuvre les règles de la bonne gouvernance et éviter l'incompatibilité entre les intérêts personnels et les responsabilités publiques", conclut le communiqué