Selon un article du site spécialisé publié mercredi, Elon Musk et Shivon Zilis, Canadienne âgée de 36 ans, ont fait une demande en avril auprès d'un tribunal au Texas pour changer le nom des deux bébés.
Ils voulaient leur donner le nom de famille du père et, en guise de second prénom, le nom de famille de la mère. Leur demande a été approuvée par un juge, d'après les documents juridiques consultés par Business Insider.
Lire aussi : Elon Musk rompt son silence sur Twitter avec une photo de lui et du pape
Shivon Zilis est la directrice des opérations et des projets spéciaux de Neuralink, une startup du milliardaire spécialisée dans les implants neuronaux.
Les jumeaux sont nés quelques semaines avant le second enfant d'Elon Musk avec la musicienne Grimes en décembre. Ils l'ont baptisée Exa Dark Sideræl Musk, et l'appellent couramment «Y». Leur garçon né en 2020 répond lui à «X», raccourci de X Æ A-12.
«Je le qualifierais probablement de mon petit-ami mais nous sommes très fluides», avait indiqué Grimes, Claire Boucher de son vrai nom, dans une interview à Vanity Fair en mars. «Nous vivons dans des maisons séparées. Nous sommes meilleurs amis. Nous nous voyons tout le temps... (...) Je n'attends pas des gens qu'ils comprennent.»
L'homme le plus riche au monde a eu six enfants avec Justine Musk (née Wilson) dans les années 2000, dont un décédé quelques semaines après sa naissance.
L'un d'entre eux, une fille transgenre, a récemment déposé une demande officielle pour changer de nom de famille en même temps que de genre afin de couper tout lien avec son père, selon des documents juridiques consultés par l'AFP.
«Je n'habite plus avec mon père biologique et ne veux plus être associée à lui sous quelque forme que ce soit», y écrit la jeune femme.
Lire aussi : Elon Musk prêt à réintégrer Donald Trump sur Twitter
Née Xavier Alexander Musk, elle a demandé à s'appeler Vivian Jenna Wilson et ainsi prendre le nom de jeune fille de sa mère, divorcée d'Elon Musk en 2008.
Le quinquagénaire a écrit par le passé des messages sur Twitter critiquant le fait que les personnes transgenres ou non binaires demandaient à être identifiées par des pronoms spécifiques, dont ce tweet datant de décembre 2020: «je soutiens absolument les trans mais tous ces pronoms sont des cauchemars esthétiques».