Les Bamakois, bien que confrontés aux effets de la crise socio-sécuritaire du pays, sont déterminés à célébrer comme il se doit la fête de l’Aïd el Kébir, la fête du mouton. Cela, au prix d’une sérieuse saignée dans le maigre budget familial.
ParDaouda Tougan Konate
Le 11/09/2016 à 19h01
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