
Le colonel Houari Boumediene qui poursuit sa marche vers Alger à la tête de l'Armée de libération nationale (ALN), traverse la ville de Blida, le 09 septembre 1962, entouré des colonels Ahmed Bencherif (à sa droite) et Mohamed Chaâbani (à gauche de Boumediene, commandant de la 4e région militaire). Après deux mois de luttes de pouvoir et de combats sanglants qui ont suivi la proclamation de l'indépendance, Ben Bella et les partisans du Bureau politique du FLN, appuyés par l'armée des frontières commandée par le colonel Boumediene, réalisent un coup d'État et prennent le pouvoir en Algérie. (Photo Fernand Parizot/AFP)

Le colonel Houari Boumediene qui poursuit sa marche vers Alger à la tête de l'Armée de libération nationale (ALN), traverse la ville de Blida, le 09 septembre 1962, entouré des colonels Ahmed Bencherif (à sa droite) et Mohamed Chaâbani (à gauche de Boumediene, commandant de la 4e région militaire). Après deux mois de luttes de pouvoir et de combats sanglants qui ont suivi la proclamation de l'indépendance, Ben Bella et les partisans du Bureau politique du FLN, appuyés par l'armée des frontières commandée par le colonel Boumediene, réalisent un coup d'État et prennent le pouvoir en Algérie. (Photo Fernand Parizot/AFP)

Le colonel Houari Boumediene (C), qui poursuit sa marche vers Alger à la tête de l'Armée de libération nationale (ALN), traverse la ville de Blida, le 09 septembre 1962, entouré des colonels Ahmed Bencherif (à sa droite) et Mohamed Chaâbani (à gauche de Boumediene, commandant de la 4e région militaire). (Photo Fernand Parizot/AFP)

Le colonel Houari Boumediene qui poursuit sa marche vers Alger à la tête de l'Armée de libération nationale (ALN), traverse la ville de Blida, le 09 septembre 1962, entouré des colonels Ahmed Bencherif (à sa droite) et Mohamed Chaâbani (à gauche de Boumediene, commandant de la 4e région militaire). Après deux mois de luttes de pouvoir et de combats sanglants qui ont suivi la proclamation de l'indépendance, Ben Bella et les partisans du Bureau politique du FLN, appuyés par l'armée des frontières commandée par le colonel Boumediene, réalisent un coup d'État et prennent le pouvoir en Algérie. (Photo Fernand Parizot/AFP)

Des troupes de l'Armée nationale populaire algérienne (ANP), commandées par le colonel algérien Houari Boumediene arrivent à Alger, le 09 septembre 1962. Après deux mois de luttes de pouvoir et de combats sanglants qui ont suivi la proclamation de l'indépendance, Ben Bella et les partisans du Bureau politique du FLN, appuyés par l'armée des frontières commandée par le colonel Boumediene, réalisent un coup d'État. (Photo de Fernand Parizot/AFP)

Des troupes de l'Armée nationale populaire algérienne (ANP), commandées par le colonel algérien Houari Boumediene arrivent à Alger, le 09 septembre 1962. Après deux mois de luttes de pouvoir et de combats sanglants qui ont suivi la proclamation de l'indépendance, Ben Bella et les partisans du Bureau politique du FLN, appuyés par l'armée des frontières commandée par le colonel Boumediene, réalisent un coup d'État. (Photo de Fernand Parizot/AFP)

Les combattants de l'Armée de libération nationale algérienne (ALN) fidèles à l'Armée des frontières de Houari Boumediene (casquettes) et ceux de la Wilaya 4 (bérets), fidèles au Gouvernement provisoire de la République algérienne (GPRA) se saluent le 30 août 1962 dans la casbah d'Alger, au lendemain d'une fusillade les opposant, après l'Indépendance de l'Algérie. Après deux mois de luttes de pouvoir et de combats sanglants, les partisans du Bureau politique du FLN, appuyés par l'armée des frontières commandée par le colonel Boumediene, affirment leur supériorité et un cessez-le-feu fragile est conclu, qui fait d'Alger une ville démilitarisée sous la responsabilité du Bureau politique du FLN
(FERNAND PARIZOT/AFP)
Les combattants de l'Armée de libération nationale algérienne (ALN) fidèles à Yacef Saadi, chef de la Zone autonome d'Alger (ZAA) et à l'Armée des frontières de Houari Boumediene (casquettes) et ceux de la Wilaya 4 (bérets), fidèles au Gouvernement provisoire de la République algérienne (GPRA) se saluent le 30 août 1962 dans la casbah d'Alger, au lendemain d'une fusillade les opposant, après l'Indépendance de l'Algérie. (Photo de Fernand Parizot/AFP)

Les combattants de l'Armée de libération nationale algérienne (ALN) fidèles à l'Armée des frontières de Houari Boumediene (casquettes) et ceux de la Wilaya 4 (bérets), fidèles au Gouvernement provisoire de la République algérienne (GPRA), le 30 août 1962 dans la casbah d'Alger, au lendemain d'une fusillade les opposant, après l'Indépendance de l'Algérie. (Photo de Fernand Parizot/AFP)

Les soldats de l'Armée de libération nationale (ALN, future ANP (Armée nationale populaire) commandés par le colonel Houari Boumediene qui viennent d'entrer à Alger, se préparent, le 10 septembre 1962, au défilé au stade municipal de la ville (Photo de Fernand Parizot/AFP)

Les soldats de l'Armée de libération nationale (ALN, future ANP (Armée nationale populaire) commandés par le colonel Houari Boumediene, à Alger le 10 septembre 1962, se préparent au défilé au stade municipal de la ville. (Photo de Fernand Parizot / AFP)

Les soldats de l'Armée de libération nationale (ALN, future ANP (Armée nationale populaire) commandés par le colonel Houari Boumediene, à Alger le 10 septembre 1962, se préparent au défilé au stade municipal de la ville. (Photo de Fernand Parizot / AFP)

Le 23 septembre 1963, un an après le coup d'État, deux militaires armés de l'Armée nationale populaire contrôlent la route Alger-Boufarik, dans la région d'Alger, sous le commandement du colonel Houari Boumediene. (Photo FARENC/AFP)

Le 23 septembre 1963, un an après le coup d'État, des militaires armés de l'Armée nationale populaire contrôlent la route Alger-Boufarik, dans la région d'Alger, sous le commandement du colonel Houari Boumediene. (Photo FARENC/AFP)

Combo de portraits des membres de la délégation du Gouvernement provisoire de la République algérienne (GPRA) aux pourparlers d'Evian. De G à D en haut: Ahmed Francis, ministre des Finances et des Affaires économiques du GPRA, Krim Belkacem, vice-président et ministre des Affaires étrangères du GPRA, en bas: Taïeb Boulharouf, délégué du FLN à Rome, Ahmed Boumendjel, conseiller politique du GPRA. Les négociations pour mettre fin à la guerre en Algérie entre le gouvernement français et le Gouvernement provisoire de la République algérienne (GPRA), ouvertes le 20 mai 1961 à Evian, aboutissent aux accords d'Evian le 18 mars 1962. (Photo AFP)

Le chef de la délégation du Gouvernement provisoire de la République algérienne (GPRA), Krim Belkacem, descend d'une voiture pour embarquer dans un hélicoptère à destination de la Suisse le 7 mars 1962 à l'issue d'une réunion de négociations pour mettre fin à la guerre en Algérie, quelques jours avant la signature des accords d'Evian, entre le gouvernement français et le Gouvernement provisoire de la République algérienne (GPRA) le 18 mars. Les négociations pour mettre fin à la guerre en Algérie entre le gouvernement français et le Gouvernement provisoire de la République algérienne (GPRA), ouvertes le 20 mai 1961 à Evian, ont abouti aux accords d'Evian le 18 mars 1962. (Photo AFP)

Benyoucef Benkhedda (à gauche), président du Gouvernement provisoire de la République algérienne (GPRA), et le vice-président du GPRA, Krim Belkacem (à droite), arrivent en jeep à Alger, saluant la foule en liesse, le 4 juillet 1962. (Photo AFP)

Benyoucef Benkhedda, président déchu du Gouvernement provisoire de la République algérienne (GPRA) et remplacé par Ahmed ben Bella, salue la foule sur l'avenue du bord de mer devant la préfecture d'Alger le 03 août 1962. (Photo AFP)

Des Algériens écoutent le discours diffusé du président du GPRA (Gouvernement provisoire de la République algérienne) Benyoucef Benkhedda, le 09 mai 1962 au quartier Belcourt à Alger, alors que se profile un accord sur la fin de la guerre d’Algérie à Évian. (Photo AFP)

Mohammed Harbi (C), Secrétaire général du ministère des Affaires étrangères du Gouvernement Provisoire de la République Algérienne (GPRA), le 9 août 1962 à Alger, avec le consul soviétique Kaverine (G) lors du déchargement des 6.500 tonnes de blé arrivées la veille à bord du cargo Uglourask
. (Photo AFP)




