Selon un communiqué du ministère, les professionnels ont fait part, avec sérieux et responsabilité, des difficultés que rencontre le secteur, notamment celles relatives au manque d’autorisations bilatérales du transport international routier (TIR) et aux difficultés d’obtention des visas au profit des chauffeurs.
Les deux parties se sont engagées à poursuivre le dialogue en vue de trouver des solutions aux différentes problématiques soulevées, tenant compte des aspirations des professionnels, afin que ce secteur reste en phase avec les différentes évolutions économiques et sociales que connaît le Royaume, souligne le communiqué.
Lire aussi : Transport routier international: peut mieux faire
Dans ce cadre, il a été décidé d’organiser, avec régularité, une nouvelle rencontre dès le mois de janvier 2022, et de mettre en place un plan d’action prioritaire visant à promouvoir le transport international routier de marchandises.
Présidée par le ministre du Transport et de la Logistique, Mohammed Abdeljalil, cette réunion s’inscrit dans le cadre de la poursuite des rencontres organisées avec les organismes représentatifs du secteur du transport routier au Maroc, afin d’aborder les problèmes auxquels le secteur est confronté à travers un dialogue sincère et constructif.