L’affaire remonte à 2015 suite à la cession de 20 camions pour un montant d’environ 18 millions de dirhams. Un jugement a été rendu en première instance en 2018 ordonnant au client Cotradis de restituer à Fenie Brossette Côte d’Ivoire les 17 véhicules en état de marche.
La filiale ivoirienne a été condamnée à payer solidairement avec Fenie Brossette à titre de dommages et intérêts la somme de 1,58 milliard FCFA (environ 27 millions de dirhams) et à exécuter, à titre provisoire, la somme de 752 mille FCFA (environ 13 millions de dirhams).
En 2018, Fenie Brossette-Côte d’Ivoire avait interjeté appel contre ce jugement et avait constaté lors de la clôture des comptes 2017 une provision à hauteur de la somme de l’exécution provisoire, à savoir 13 millions de dirhams.
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Bien que la société ait procédé à la défense à exécution et ait fait appel du jugement de première instance, Fenie Brossette-Côte d’Ivoire a été informée, en juillet 2019, du prononcé d’un arrêt de la Cour d’appel la condamnant solidairement avec Fenie Brossette à verser la somme de 1,72 milliard FCFA (environ 28 millions de dirhams) à la société Cotradis et ordonnant à cette dernière de restituer les 17 véhicules en état de marche.
Fenie Brossette, qui juge infondé cet arrêt, affirme qu’elle ne manquera pas de se pourvoir en cassation pour qu’elle soit rétablie dans ses droits.







