L'organisation de cette rencontre intervient en "s'inspirant de la Haute vision royale relative à la stratégie de coopération Sud-Sud, en particulier la dimension culturelle, et en poursuivant ses efforts visant à mettre la culture au cœur du développement durable, dont le patrimoine culturel immatériel en tant que legs représentatif et plénier", indique le ministère dans un communiqué.
Ces premières Assises africaines revêtent une importance primordiale dans la mesure où elles sont appelées à poser les fondements d’un partenariat fructueux, enrichissant et constructif en matière de valorisation et de sauvegarde du patrimoine culturel immatériel dans le continent africain, souligne le ministère, notant que l’objectif consiste à mettre en place des groupements régionaux intégrés, partant du principe de respect des spécificités nationales de chaque pays.
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Le ministère souligne qu'il ambitionne, à travers la tenue de ces Assises, de déterminer les entrées essentielles d’une approche participative, à même de conforter les racines africaines à partir d’une vision stratégique enracinée et de long terme visant l’instauration de partenariats solidaires et authentiques aptes à garantir, dans un esprit de responsabilité et de sérieux, le développement des ressources humaines et naturelles en Afrique.
