Le retard enregistré dans l’entrée en activité du grand théâtre de Casablanca est attribué par Nabila Rmili, présidente du Conseil de la ville de Casablanca, à la question du mode de gestion à adopter pour cette infrastructure culturelle.
Les meneurs de ce projet sont, en effet, en train d’étudier le business model adéquat pour ce théâtre dont la gestion devra coûter à la ville plus de 100 millions de dirhams de déficit annuel, explique la maire, lors d’une conférence-débat sur «Casablanca à Horizon 2030», organisée par La Vie Eco, jeudi soir à Casablanca. Ce qui implique également la préparation du budget de fonctionnement de ce théâtre.