Le 26 août 2025, l’Assemblée nationale a adopté une loi inédite. Pour la première fois en Afrique subsaharienne francophone, un texte protège officiellement les lanceurs d’alerte. Une avancée présentée comme un outil de lutte contre la corruption et un signal fort pour la démocratie. Mais, si l’espoir est bien là, les inquiétudes demeurent.