Tous les articles correspondant à #activité économique

Croissance: le Maroc défie le ralentissement mondial et table sur 4,4% en 2025
Le Maroc prévoit de maintenir une croissance de 4,4% en 2025 et de 4% en 2026, soutenue par un rebond agricole, une demande intérieure dynamique et des investissements en infrastructures. Mais le pays reste confronté à des défis structurels persistants, notamment la faiblesse du rendement de l’investissement et un déficit commercial qui se creuse.
Croissance économique: derrière le rebond, une dépendance à la demande intérieure qui interpelle
Le Maroc a enregistré une croissance soutenue au premier semestre 2025, portée par la consommation et l’investissement internes. Mais ce redressement, qui se poursuivrait au troisième trimestre, cache une fragilité persistante du moteur exportateur. Analyse des derniers chiffres du Haut-commissariat au plan.
L’économie marocaine a connu une croissance de 3,8% en 2024, selon le HCP
L’économie nationale a réalisé un taux de croissance de 3,8% en 2024, selon le Haut-commissariat au plan (HCP). Cette évolution est due aux activités non agricoles qui ont progressé de 4,5%, tandis que le secteur agricole a reculé de 4,8%. Portée par la demande intérieure, cette croissance s’est réalisée dans un contexte marqué par une forte inflation et un creusement du besoin de financement de l’économie.
En chiffres, ce que pèse le secteur informel dans l’économie marocaine
L’économie informelle dans le Royaume représente environ 30% du PIB et emploie plus de 40% de la population active, générant des revenus vitaux pour des millions de travailleurs. Toutefois, elle entraîne des pertes fiscales de 34 milliards de dirhams annuellement, limitant les ressources de l’État, pour des secteurs essentiels. Cet article est une revue de presse tirée du quotidien L’Économiste.
Économie: les perspectives de croissance pour début 2025 tributaires de la pluie
L’économie nationale aurait enregistré une croissance de 3% au 4ème trimestre 2024, après +4,3% au 3ème, selon le HCP. Au premier trimestre 2025, la croissance économique devrait se situer à 3,5%, dans l’hypothèse d’une amélioration du régime pluviométrique hivernal et de l’absence de chocs inflationnistes externes.
Yaoundé: dur, dur, les lendemains de fête
Les activités reprennent au ralenti à Yaoundé après la célébration des fêtes de fin d’année. Les Yaoundéens se sont réveillés avec des rues désertes, qui étaient pourtant bondées de monde quelques heures auparavant. C’est la fatigue totale.
Niamey: sur le chemin de l’école, les recettes des commerçants prennent des couleurs
Pour beaucoup de commerçants, les affaires ont repris leur cours après qu’élèves et enseignements ont rejoint les salles de classe. Les leçons, c’est bien connu, ça donne faim aux élèves souvent obligés de prendre un transport public pour aller à l’école. Initialement prévue le 2 octobre, la rentrée a été repoussé au 28 octobre en raison des inondations et l’occupation des écoles par des personnes déplacées.
Mauritanie: à force de bras, ces femmes de Rindiaw font reverdir le désert... et ça paie
Elles ont entre 18 et 35 ans et habitent le village de Rindiaw. Grâce à la coopération avec des ONG, ces femmes cultivent des parcelles maraîchères dans un environnement menacé de désertification. Ces lopins de terre leur permettent de s’émanciper économiquement et de lutter contre l’insécurité alimentaire de leur communauté.
L’informel au Sénégal: «C’est un risque permanent», les multiples peines des femmes
Près de 95% des femmes entrepreneurs sénégalaises opèrent dans le secteur informel et ne bénéficient donc d’aucune reconnaissance hormis celle de leurs familles dont elles doivent subvenir aux besoins. Coumba Niang et Sala Fall en témoignent.
Une croissance économique de 2,4% au deuxième trimestre 2024
Selon l’arrêté des comptes nationaux publié par le Haut-Commissariat au plan (HCP), la croissance de l’économie nationale s’est ralentie au cours du deuxième trimestre 2024 à 2,4%, essentiellement à cause de la baisse des activités agricoles, que la progression des activités non agricoles n’a pu compenser.