Plusieurs d’entre eux ont suspendu leur travail dans les mines depuis la mort des deux jeunes frères la semaine dernière, mais d’autres continuent à y risquer leur vie chaque jour.
Les personnes rencontrées sur place expliquent comment, à l’aide d’outils rudimentaires, elles risquent leur vie en pénétrant dans ces mines, pour en ressortir ensuite avec du charbon qui leur permettra d'empocher quelques dizaines de dirhams. Ce charbon, que certains récoltent depuis décennies, est revendu dans des dépôts de la ville.
Ces hommes affirment aussi que ces mines sont le seul moyen pour les habitants de la ville de gagner leur vie et celle des leurs.