Dans les plus grands boulevards et artères de Casablanca, l'anarchie du stationnement est bien visible, comme l'a pu constater Le360 à travers une balade dans la ville.
L'on observe même dans une rue exiguë de nombreuses voitures qui s'entassent, donnant une mauvaise image de la ville considérée comme le poumon économique du Maroc. Ajoutons à cela la cherté des parkings dans plusieurs endroits, et dont les gardiens donnent l'impression d'échapper à tout contrôle.
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"Le parc automobile a connu une hausse remarquable durant ces dernières années, mais malheureusement l'infrastructure n'a pas suivi", regrette un citoyen casablancais. Ceci sans parler de l'anarchie qui règne dans le secteur, causant d'énormes désagréments aux automobilistes.
Pour sa part, Karim Klibi, membre du Conseil de la ville, pointe le manque de bonne gouvernance dans la gestion des grands projets de la ville. Il explique, chiffres à l'appui, cet état de chose nuisible à l'image de la ville.
