Suicide par pendaison. Encore un jeudi noir…

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Il n’y a quasiment plus un jour où il n'est à déplorer un cas de suicide par pendaison, quelque part dans le pays. Et il y a même des journées bien plus dramatiques…

Le 01/03/2015 à 21h06

Jeudi 27 février a été une nouvelle journée marquée par l’enregistrement de plus de deux cas de suicide par pendaison. Cette méthode des plus atroces pour mettre fin à ses jours a été utilisée à Oujda et Safi. Dans la ville de l’Oriental, un brigadier de police a fixé une corde au toit de son salon pour se pendre. Le policier était détaché au service de l’identification judiciaire et bénéficiait d’un certificat de 15 jours car souffrant de dépression nerveuse, nous apprend une source sécuritaire. Ses voisins du quartier Ennajd2 à Oujda n’ont rien vu venir…

A l’autre bout du pays, précisément à Safi, ce sont des gardiens de prison qui ont été confrontés à l’horreur. Dans les toilettes du pavillon 2 du pénitencier central «Moul Bergui», ils sont tombés sur un détenu suspendu à la fenêtre, un drap autour du cou. Le prisonnier qui s’est donné la mort purgeait une peine de 30 ans de réclusion pour homicide volontaire.

Par Le360
Le 01/03/2015 à 21h06