"Les détenus prennent leurs repas régulièrement et ont reçu les mets apportés par leurs familles à l’occasion des visites", a souligné la Délégation générale à l'administration pénitentiaire et à la réinsertion (DGAPR) réfutant "les allégations relayées par certains sites d’information sur la base du post d’un proche de l’un des détenus prétendant l’observation d’une grève de faim par certains d’entre eux".
Ce qui a été relayé à propos de "la maltraitance et la cruauté des fonctionnaires n'est qu'un "mensonge, étant donné que l’administration ainsi que tous les fonctionnaires veillent à traiter lesdits pensionnaires conformément aux dispositions juridiques à l’instar des autres détenus", a fait savoir le communiqué.
Les détenus incarcérés dans le cadre des événements d’Al Hoceima ont menacé à maintes reprises d’entamer une grève de faim "en vue d’obtenir des privilèges illégaux", a fait remarquer la même source exprimant sa détermination à poursuivre l’application rigoureuse de la loi à l'égard de tous les pensionnaires sans discrimination aucune.
