Cet événement, organisé par l’Union internationale contre le cancer (UICC) et la Ligue française de la lutte contre le cancer, est une occasion d’exposer les efforts déployés par la société civile dans la lutte contre cette maladie et de proposer de nouvelles solutions et initiatives afin de relever les défis de prévention et du traitement du cancer.
La participation de la princesse Lalla Salma à ce Congrès témoigne de son engagement continu dans la lutte contre le cancer tant au niveau national qu’international.
L’ouverture de ce congrès a été marquée par la présence du président français François Hollande, de l’épouse du roi d’Espagne, la reine Letizia, présidente d’honneur de l’association espagnole de lutte contre le cancer, et de la princesse Dina Mired de Jordanie. A cette occasion, la princesse Lalla Salma, a suivi les allocutions prononcées à l’ouverture de ce congrès international, qui connait la participation de plus de 3.500 experts et acteurs concernés.
Faire entendre la voix des institutions et organisations de la société civile
Les interventions des acteurs des organisations internationales actives dans la lutte contre le cancer ont souligné la nécessité d’encourager les chercheurs pour le développement des traitements et d’adopter de nouvelles approches qui touchent l’ensemble de la société, en particulier les femmes.
La princesse Lalla Salma a, auparavant, pris part à l’ouverture du Sommet mondial des leaders du cancer. Elle a été accueillie par Tezer Kutluk, président de l’UICC et Jacqueline Godet, présidente de la ligue française contre le cancer.
Ce Sommet a pour but de faire entendre la voix des institutions et organisations de la société civile à travers des témoignages qui ont mis l’accent sur le coût du traitement de cette maladie et ses répercussions sur les sociétés.
La princesse Lalla Salma a tenu à assister aux ateliers organisés dans le cadre de cette manifestation internationale. Ceux-ci abordaient les questions liées à la sensibilisation au danger de propagation du cancer et l’importance d’ériger cette maladie en priorité des programmes de santé internationale.