Après Lhoucine Louardi, ministre de la Santé, Mohamed Laârej, ministre de la Culture, c’est au tour de Mohamed Hassad, ministre de l’Education nationale, d’inaugurer son mandat par un mouvement social.
En effet, dimanche 23 avril, les enseignants du primaire et du secondaire se donnent rendez-vous à 10 heures, à Rabat, devant leur ministère de tutelle. L’information est confirmée par Abdelkader Zair, représentant de la Confédération démocratique du travail (CDT).
D’ailleurs, seuls les enseignants affiliés à cette organisation syndicale prendront part à cette marche, apprend-t-on même source.
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Les protestataires revendiquent le même cahier de charges qu’ils avaient soumis à l’ancien ministre Rachid Belmokhtar.
On retrouve ainsi la défense de la gratuité de l’école publique. Une thématique que le rapport de Omar Azziman avait relevé et qui avait donné lieu à une grande polémique, qui à priori se poursuit.
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La généralisation de la couverture sociale fait également partie des doléances
Mais également, les grévistes soulignent «la surpopulation des classes, où l’on retrouve 70 élèves et le cas de des enseignants qui se voient attribuer des postes sans formation préalable», conclut notre interlocuteur.