C’est parti pour la campagne de vaccination à Casablanca. Et à tout seigneur tout honneur, c’est dans les rangs de la préfecture de police de la capitale économique que celle-ci a démarré. C’était ce vendredi 29 janvier.
Sur les lieux, la mobilisation est à son comble. Dès les premières heures du matin, les cadres du ministère de la Santé et de la DGSN apportent les dernières retouches à des préparatifs entamés depuis la veille au soir. À 8 heures l’opération de vaccination proprement dite peut enfin commencer.
«L'opération se déroule dans de bonnes conditions, les premiers concernés sont les agents actifs de plus de 45 ans. Cette phase s’étalera sur 4 jours. Suivra une généralisation progressive de cette campagne à l’ensemble des éléments de la police de Casablanca. Pour cette seule matinée du vendredi, nous avons vacciné plus de 283 éléments», indique Abderazak Boujrida, commissaire principal et chef du service de santé.
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Le rythme est donc soutenu et la cadence sera maintenue tout au long de cette opération menée en collaboration avec les services du ministère de la Santé.
Le processus est comme suit: «Dès leur arrivée, les agents sont pris en charge au niveau de l’entrée du centre de vaccination installé au sein de la préfecture. Une fois inscrits, ils font l’objet d’une consultation médicale pour s’assurer de leur état de santé avant d’être vaccinés. La dose inoculée, ils sont invités à rester en observation quelques minutes avant d’être libérés», indique la docteure Zakia Alaoui, responsable au ministère de la Santé en charge de cette opération.
À l’heure où nous mettions en ligne, l’opération était en train de se généraliser au niveau de toutes les préfectures de polices du royaume.
