«Les eaux de ces trois plages sont de mauvaise qualité», a déclaré à le360 un responsable du département en charge du développement durable.
De manière générale, d'après le rapport, le taux de la qualité de l'eau, en Atlantique ou en Méditerranée, s'est amélioré, passant de 72% en 2016 à 97,9 % cette année. L'enquête indique aussi que l'opération de contrôle des eaux a concerné 431 points de prélèvement sur un total de 161 plages.
Il s'avère que la plupart des plages, situées sur la façade méditerranéenne ou atlantique, présentent une bonne ou moyenne qualité microbiologique, ce qui les classe dans les catégories A et B.
Les stations polluées, victimes des rejets d’eaux usées et d'une très forte concentration de baigneurs, relèvent quant à elles des catégories C et D. Et c'est justement le cas des plages de Jbila à Tanger, de Miami de Larache et de Oued Merzeg à Casablanca.