Constatant que la déclaration finale du comité comprenait un paragraphe soulignant le rôle du roi Mohammed VI, président du Comité Al-Qods et de l'agence Bayt Mal Al-Qods Acharif, dans le soutien de cette ville sainte et la résistance de ses habitants, le représentant algérien a exigé que la déclaration comporte également un paragraphe sur le rôle présumé du président algérien à cet égard.
Cependant, les participants n'ont prêté aucune considération à cette demande et la déclaration a été ainsi adoptée à l'unanimité telle que proposée par la présidence du Comité et du Secrétariat général de la Ligue des Etats arabes, avec l'intégralité du paragraphe susmentionné relatif à la présidence du Comité Al-Qods.
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Le rejet par le Comité de la demande algérienne a consacré ainsi l'isolement de l'Algérie qui n'a eu d'autres choix que de formuler des réserves sur la déclaration, lesquelles n'affectent pas le consensus arabe envers le soutien à Al Qods et ses habitants.