La machine de propagande séparatiste tente une nouvelle fois de récupérer la mort du sahraoui Chamad Ould Jouly, dimanche 28 février à Mijek, localité marocaine évacuée par les FAR au lendemain de l’accord de cessez-le-feu conclu le 15 octobre 1991 mais présentée mensongèrement par le Polisario comme étant un «territoire libéré» !
Selon des sites séparatistes, Mohamed Abdelaziz aurait même saisi par lettre le SG de l’ONU, Ban ki-Moon, pour protester contre une présumée «violation de l’accord de cessez-le-feu».
Une allégation démentie par les faits, ceux-là mêmes qui sont relayés par les sites séparatistes. En effet, selon «Al Mostakbal sahraoui», qu’on ne vous présente plus, confirme bel et bien que le défunt se trouvait à 300 mètres de la ceinture de sécurité quand il a été pris à partie par une patrouille des forces armées royales.
Alors, qu’est venu chercher un civil à quelques encablures de la ceinture de sécurité des FAR sachant que la zone en question est militarisée ? La thèse avancée par la propagande séparatiste indique, faussement, que l’intéressé voulait récupérer son troupeau de chameau qui se serait hasardé du côté de la ceinture de sécurité !
Mais voilà, pourquoi a-t-il été pris pour cible lui-même et non pas ses employés, des chameliers qui se trouvaient avec lui au moment de l’incident ?
A toutes fins utiles, il faut bien noter que les actes de harcèlement à l’encontre des troupes des FAR stationnées derrière la ceinture sont légion. Et à chaque fois, nos soldats font preuve de sagesse et de patience. Mais là, l’intéressé se trouvait à 300 mètres de la ceinture de sécurité ! D’où la riposte de la patrouille des FAR.
Une provocation qui ne devait pas se dérouler impunément, autant que grossière imposture polisarienne des «territoires libérés» !