Quelques jours seulement après le renouvellement de l’accord de pêche Maroc-Union européenne, qui respecte l’intégrité territoriale du Maroc en englobant les provinces sahariennes au grand dam du polisario, ce dernier va enregistrer deux nouvelles autres défaites cuisantes.
Selon Al Ahdath Al Maghribia de ce vendredi 27 juillet, la Cour de justice européenne a vertement débouté le Polisario en rejetant catégoriquement sa demande d’annulation de l’accord de pêche maroco-européen. Jeudi dernier, la 5e chambre de la Cour européenne a même dénié au Polisario toute qualité l’habilitant à exiger une telle annulation, du moment qu’il n’est pas concerné ni de près, ni de loin par cet accord. Pire, la Cour européenne a enjoint au Polisario de payer tous les frais occasionnés par cette demande d’annulation et la procédure inutile qui s’ensuivit.
Par ailleurs, la pseudo-organisation non gouvernementale, dénommée «Bureau international pour le respect des droits de l’Homme au Sahara occidental», vient de se faire sèchement éconduire par le Conseil économique et social des Nations-Unies (ECOSOC). Frappant aux portes de cet organisme onusien depuis 2010, en vue de se faire octroyer une accréditation qui lui aurait permis de participer aux réunions des organes onusiens, cette ONG, financée par le gouvernement algérien, a été démasquée par le Conseil économique et social des Nations-Unies.
En effet, ce dernier organisme, et sur l’insistance constante de la diplomatie marocaine, a finalement eu la conviction que cette coquille vide n’avait d’autre objectif que de nuire politiquement au Maroc, sous couvert de fausse défense des droits de l’homme. Cette supercherie, qui dure depuis maintenant huit années, a eu le mérite de mettre à nu les manœuvres insidieuses du Polisario, face auxquelles la communauté internationale commence à ouvrir les yeux.