People: Adriana Karembeu raconte son coup de cœur pour le Maroc

Adriana Karembeu, dans le jardin de son hôtel Marrakchi, le Palais Ronsard.

Le mannequin slovaque partage actuellement sa vie entre la France, Monaco et le Maroc. Dans une interview accordée au magazine français «Gala», elle se confie sur son lien avec le Royaume, pays qu’elle dit être cher à son cœur, et où sa fille a vu le jour.

Le 18/07/2024 à 10h03

Dans une interview accordée au magazine people français Gala, Adriana Karembeu s’est livrée à quelques confidences au sujet de sa vie au Maroc, où elle est propriétaire du Palais Ronsard, un hôtel de luxe sis à Marrakech.

«Je suis tombée amoureuse de ce pays, de sa culture, de son peuple, de son histoire», raconte ainsi celle qui a d’abord découvert le Royaume en solo au cours de sa carrière de mannequin. Le Maroc, elle continuera à le découvrir ensuite avec son ex-mari, Aram Ohanian, homme d’affaires français qui y est installé depuis 40 ans.

Après leur mariage, le couple décide de construire sa future maison à Marrakech, mais c’est finalement un hôtel qui verra le jour à la place. «Mon ex-époux adorait recevoir. Quand nous élaborions les plans de notre future maison à Marrakech, il m’annonçait tous les jours qu’il souhaitait ajouter des chambres pour accueillir tel ou tel ami. Un soir, je lui ai dit qu’à ce rythme-là, il ferait mieux de construire un hôtel», explique celle qui est aussi ambassadrice de la Croix-Rouge.

Une histoire d’amour marocaine symbolisée aujourd’hui par le Palais Ronsard, sorti de terre en 2019 à vingt minutes du centre de Marrakech. C’est ici que vit la fille d’Adriana Karembeu et d’Aram Ohanian, la petite Nina, née au Maroc. «Ma fille adore le Palais Ronsard. Elle pense que c’est sa maison. Parce qu’elle est née et qu’elle a toujours vécu ici. Les gens qui y travaillent, c’est un peu comme sa famille. La dame de la réception, c’est sa copine par exemple. C’est chez elle. Elle kiffe sa vie», raconte Adriana Karembeu, qui considère elle-même l’endroit comme «un paradis» où elle se sent «comme une princesse».

Par Leïla Driss
Le 18/07/2024 à 10h03