"Le sujet est sur toutes les lèvres. Impossible d'y échapper. Tout le gotha rbati en parle. Le mariage de Lalla Soukaina intrigue et attise les curiosités". C'est ainsi que l'hebdomadaire Le Temps lance son sujet sur le mariage princier de l'année. Un mariage qui, comme l'avait annoncé Le360 en exclusivité, est prévu pour ce vendredi 4 octobre. L'occasion pour le magazine de revenir sur "l'énigme lalla Soukaina". Une énigme qu'il décrit comme "discrète" en ce qui concerne sa vie privée, "mystérieuse" quant à ses projets d'avenir...
"La seule des petits-enfants de Hassan II à avoir eu le titre de Princesse", suscite "une prodigieuse fascination chez les Marocains", souligne l'hebdomadaire. Et son mariage n'en est pas moins fascinant : "chacun y met son grain de sel", commente Le Temps. "Les uns parlent d'une soirée grandiose animée par des stars internationales et de grands noms de la chanson arabe où des invités triés sur le volet seront présents parmi les têtes couronnées (…). D'autres avancent l'éventualité d'une fête de mariage familiale où seulement les proches et les amis les plus intimes seront conviés", déclare le journal. "Une hypothèse appuyée par la discrétion et la réserve qui avaient entouré la célébration des unions des autres princesses comme celle de Lalla Zineb, fille de Moulay Abdellah", poursuit Le Temps.
Portrait de l'heureux élu
Si la belle princesse et le déroulement de "son" jour "J" représente une "énigme" pour le média, l'heureux élu n'en reste pas moins un autre mystère de cet heureux événement que les Marocains observent à travers la petite lucarne. "Cheveux noirs raides, yeux sombres, corps musclé", décrit Le Temps. Certains proches parlent d'un "adolescent bien éduqué et sans histoire". Dans les milieux professionnels, le futur prince charmant "est connu pour son sérieux et ses compétences en management". Il "vit toujours chez ses parents dans le quartier huppé Les Ambassadeurs, à Rabat", précise l'hebdomadaire, mais "il est aujourd'hui quasi-impossible de l'approcher".
Le descendant de Mohamed Regragui -imam du palais royal et également professeur d'arabe au collège royal- " ne s'affiche plus dans les lieux publics de la capitale depuis l'annonce officielle de ses fiançailles". Bref, pour Le Temps, "celui qui a volé le cœur de la princesse lalla Soukaina" est tout simplement "un gendre idéal". Un gendre idéal qui convolera en justes noces avec celle que son grand-père surnommait de son vivant "Cherifa Seghira".
