La libération de l'islamologue suisse de 56 ans est soumise au versement d'une caution de 300.000 euros, a précisé son avocat Emmanuel Marsigny. Tariq Ramadan, qui doit remettre son passeport suisse, a interdiction de quitter le territoire, d'entrer en contact avec les plaignantes et certains témoins. Il devra pointer une fois par semaine au commissariat.
L'islamologue, qui souffre de sclérose en plaques, est détenu à l'hôpital pénitentiaire de Fresnes (Val-de-Marne). Il est également visé par une plainte aux Etats-Unis et une autre en Suisse pour des faits similaires.