"Nous menons des négociations intenses avec les représentants de l'opposition armée, notamment grâce à la médiation de la Turquie. Nous nous sommes mis d'accord lors d'un entretien téléphonique avec M. Erdogan (le président turc Recep Tayyip Erdogan) pour proposer aux différentes parties du conflit un nouveau terrain pour des pourparlers de paix. Cela pourrait être la capitale du Kazakhstan, Astana", a-t-il déclaré en marge d'une visite à Tokyo.
Le 16/12/2016 à 08h59