Les urgences ont été "fortement sollicitées" avec 3.580 consultations entre le 29 juin et le 5 juillet, soit trois fois plus qu'en période normale, a précisé la ministre de la Santé Marisol Touraine, soulignant que la surmortalité avait "cette fois été limitée". En 2003, la canicule avait entraîné 15.000 décès supplémentaires ("55%), selon le ministère.Cette annonce intervient alors qu’une nouvelle vague de fortes chaleurs va toucher la France à partir de ce jeudi. Le Sud reste particulièrement concerné et un pic de chaleur est attendu pour dimanche.A l’été 2003, la surmortalité liée à la canicule avait été de 55 %, soit 15 000 décès supplémentaires.
Le 16/07/2015 à 11h42