Le mis en cause avait posté un message sur son compte Facebook où il se délectait maladivement des fusillades sanglantes perpétrées par un extrémiste australien, lors de la prière du vendredi 15 mars, dans deux mosquées de Christchurch, en Nouvelle-Zélande, faisant 49 morts tragiques parmi les fidèles.
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Dans ce message, l’intéressé a poussé l'indécence jusqu’à demander la libération de l’auteur de cet acte terroriste, Brenton Tarrant, qui revendiquait un certain «suprémacisme» de la race blanche, à l’encontre de fidèles musulmans, traités de « fils de p… »!
Ce message scandaleux a valu à son auteur, répondant au nom de Ayoub. F, une véritable volée de bois vert sur les réseaux sociaux, où nombre d’internautes ont appelé à son arrestation pour apologie du terrorisme.
Selon le nouveau texte du Code pénal, l'intéressé risque de 5 à 15 ans d’emprisonnement pour apologie du terrorisme.