"Il s'agit d'allégations fallacieuses puisque le système de surveillance de l'établissement pénitentiaire ne permet pas de divulguer une lettre de ce genre", a expliqué la direction de la prison dans une mise au point. Elle précise que "le détenu a, lui même, nié catégoriquement avoir divulgué une lettre quelconque et a affirmé que des parties prétendent que cette lettre a été rendue publique au sein de la prison".
Selon la même source, "il a déjà été procédé à la propagation d'allégations de ce genre par des parties qui servent des agendas qui n'ont aucun lien avec la situation du détenu au sein de l'établissement pénitentiaire".