Selon un communiqué de la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN), les services de la police judiciaire de Fès ont ouvert, aux premières heures de ce lundi 9 décembre, une enquête sur un élève, âgé de 18 ans, qui aurait été derrière une fausse alerte à la bombe, jeudi dernier.
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La même source affirme que le prévenu avait contacté la salle de commandement et de coordination au niveau de la préfecture de police de la capitale spirituelle pour déclarer qu’un individu, habitant le quartier L’Habitat, était en possession de deux bombes. Une dénonciation qui a été prise très au sérieux par la DGSN. Sauf que, après enquête, il s’est avéré qu’il s’agissait d’une dénonciation d’un crime fictif. Un acte puni par la législation nationale.
Le prévenu a été placé en garde à vue pour les besoins de l’enquête qui se déroule sous la supervision du parquet, conclut le communiqué de la DGSN.
