En réponse aux déclarations d'un des avocats du détenu à certains journaux électroniques, prétendant que son client est privé de recevoir des lettres, la direction, citée par un communiqué de la Délégation générale à l'administration pénitentiaire et à la réinsertion (DGAPR), précise que ledit détenu a reçu cinq lettres de son épouse, durant la période allant du 2 au 11 avril, et trois autres de ses enfants, de sa sœur et de son épouse, le 19 avril, soulignant que toutes les lettres ont été remises à l'intéressé contre accusés de réception.
Condamnant les déclarations fallacieuses véhiculées à maintes reprises par la défense du détenu concerné, devant les supports médiatiques, la direction assure que ces agissements ne la dissuaderont aucunement d'appliquer la loi à l'encontre de l'ensemble des prisonniers sans distinction aucune.