Les termes d’un important deal avec Madrid pour le transfert au Maroc de la technologie militaire espagnole

Le ministre délégué auprès du chef du gouvernement chargé de l’Administration de la Défense, Abdellatif Loudiyi,  avec son homologue espagnole, Margarita Robles.

Le ministre délégué auprès du chef du gouvernement chargé de l’Administration de la Défense, Abdellatif Loudiyi,  avec son homologue espagnole, Margarita Robles. . DR

Sur hautes instructions royales, le ministre délégué auprès du chef du gouvernement chargé de l’Administration de la Défense, Abdellatif Loudiyi, a eu hier lundi à Madrid, des entretiens avec son homologue espagnole, Margarita Robles. Révélations.

Le 05/03/2019 à 11h02

Le transfert de la technologie militaire espagnole au Maroc a été au centre des entretiens qu’a eus, hier lundi 4 mars, à Madrid, le ministre délégué auprès du chef du gouvernement chargé de l’Administration de la Défense, Abdellatif Loudiyi, avec la ministre espagnole de la Défense, Margarita Robles.

«Le Maroc avait officiellement demandé aux autorités militaires espagnoles de créer une industrie militaire nationale, avec l’aide des entreprises espagnoles opérant dans l’industrie militaire», avait indiqué un haut-galonné espagnol, en marge du salon de l’armement DESI qui s’est tenu fin septembre 2015 à Londres.

Selon Info-defensa, site espagnol spécialisé dans les questions d’armement et de défense, la coopération hispano-marocaine porterait sur le transfert de technologie militaire espagnole, y compris la Cyberdéfense.

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Si la forme et l’ampleur de l’aide espagnole pour doter le Maroc d’un embryon d’industrie militaire ne sont pas encore éventées, force est de constater que Rabat et Madrid ont franchi des étapes importantes dans leurs discussions pour la concrétisation de ce projet hautement stratégique pour les Forces armées royales, dont les besoins en armement sont appelés à augmenter considérablement dans la prochaine décennie.

Le Maroc a aujourd'hui plus que jamais besoin de se doter de sa propre industrie de défense pour réduire le coût croissant des acquisitions d’armes auprès des puissances militaires occidentales. 

Par M'Hamed Hamrouch
Le 05/03/2019 à 11h02

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Avant de voir partir et concrétiser l'industrie de l'armement II faut penser à la personne qui va s'en servir en améliorant sa situation de vue et financiere pour y bien servir

Il faut changer les couleurs de nos avions de chasse...ce maron est fait pour les charts

bonjour très bonne nouvelle si c'est vrai ! il est temps que le Maroc se réveille et décide , de franchir le pas , moderniser ses outils et ses appareils , espionner les brevets , innover et créer ses propres armements , qui sont devenus hors de prix les pays arabes ils dépensent des sommes gastronomiques pour les achats des Armements , pour pouvoir se défendre

Qui n’avance pas recule est un principe au quel sont attachés les États et Individus qui voient clair dans l’eventualité de plus de difficultés et de soumission aux conditions d’autrui et à l’escalade continuelle des coûts d’acquisition de technologie dans divers domaines.Ce pendant se doter de sa propre capacité de produire en partie ou en totalité ses besoins dans le domaine militaire est une démarche appréciée et bien raisonnée .

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