Frasques sexuelles des délégués du polisario à l’étranger: le témoignage embarrassant d’une politologue colombienne

Clara Riveros, une spécialiste colombienne du conflit du Sahara. 

Clara Riveros, une spécialiste colombienne du conflit du Sahara.  . DR

Réagissant aux aventures adultérines du préposé à la «représentation du polisario à Paris», Bachir Oubi Bouchraya, Clara Riveros, spécialiste colombienne du conflit saharien, affirme ne pas avoir été "surprise" par de tels agissements scabreux, tellement les délégués du FP y sont habitués. Détails.

Le 09/11/2019 à 18h47

«Ça ne devrait pas nous surprendre. Les délégués du polisario cherchent à avoir la vie belle. Ils cherchent à assouvir leurs désirs sexuels, alors qu’ils privent les populations de Tindouf de leurs libertés», assène Clara Riveros, spécialiste colombienne du conflit du Sahara, via son compte Twitter, en réaction aux révélations scabreuses qui viennent d’être ébruitées sur les «rencontres very hot» du «représentant du polisario à Paris», Bachir Oubi Bouchraya.

S’adressant directement à Bachir Oubi Bouchraya, qui a délaissé sa femme et ses enfants à Bilbao (où ils vivent à la merci des aides sociales de l'État espagnol), pour entretenir des relations «très hard» avec la jeune présidente de "la ligue des jeunes sahraouis", la pulpeuse Aziza Hameida, elle aussi mariée, la politologue colombienne écrit: «Ce qui attire mon attention, c’est que tu te mettes à chercher tes aventures avec une sahraouie. C est un peu naïf, non?».

«Un ex-polisarien m’avait dit qu’ils (dirigeants du Polisario: Ndlr) préfèrent séduire des femmes étrangères desquelles ils arrivent à obtenir plus pour la «cause»».

Une nouvelle révélation qui a tout au moins le mérite de nous édifier sur les agissements crasses du «front de la honte», poussant l'outrecuidance jusqu'à instrumentaliser le sexe pour rallier autour de sa «cause» chimérique. 

Maintenant, la question est de savoir pourquoi les preux chevaliers du droit-de-l'hommisme" ne dénoncent pas de tels agissements rédhibitoires du front polisario, notamment à l'encontre des femmes sahraouies qui ne vaudraient pas plus que de simples "esclaves sexuelles" aux yeux des matons de Tindouf. 

Par M'Hamed Hamrouch
Le 09/11/2019 à 18h47