Arrestation d'un nervis polisarien qui a arraché le drapeau marocain du haut du consulat marocain à Bordeaux

Le drapeau marocain qui a été arraché par le nervis séparatiste.

Le drapeau marocain qui a été arraché par le nervis séparatiste. . dr

Un activiste séparatiste a été arrêté par la police française hier jeudi 3 août devant le consulat du royaume du Maroc à Bordeaux, après s'être infiltré au sein de la représentation diplomatique marocaine en se permettant d'arracher le drapeau marocain du haut de l'établissement.

Le 04/08/2017 à 14h48

Un outrage gravissime à un emblème et à un symbole du Royaume du Maroc. Celui qui a été perpétré pas plus tard qu'hier jeudi 3 août par un activiste du Polisario, en marge d'un sit-in organisé par des ouailles du front séparatiste devant le consulat du royaume du Maroc à Bordeaux en solidarité avec les auteurs de la tuerie de Gdeïm Izik. Selon un site séparatiste, un certain Ould Laâroussi aurait réussi à se hisser sur le toit du Consulat marocain à Bordeaux et arracher le drapeau marocain, avant d'être arrêté par des éléments de la sécurité nationale française.

Le site séparatiste, qui rapporte cette information, diffuse une vidéo montrant le dénommé Ould Laâroussi sur le toit du consulat marocain à Bordeaux avant d'arracher le drapeau sous les cris d'activistes polisariens: "la badil, la badil, an taqrir al massir"! (pas d'alternative à l'autodétermination!).

Cet acte renseigne sur la nervosité du front Polisario qui, en désespoir de cause, enchaîne les provocations envers le Maroc dans une tentative d'attirer l'attention de l'opinion publique sur le pseudo "droit du peuple sahraoui à l'autodétermination".

Pour précision, le SG de l'ONU, ainsi que le Conseil de sécurité, ont enterré l'option du "référendum d'autodétermination" prônée par Alger et le Polisario.

D'où ce recours à ces pratiques de voyous auquels se livrent les nervis séparatistes. L'atteinte au drapeau marocain constitue toutefois un acte gravissime qui exige des autorités françaises des mesures appropriées pour éviter qu'il soit reproduit.

Par Ziad Alami
Le 04/08/2017 à 14h48