A travers ses filiales Nareva et Managem, la participation de la SNI à la COP22 est pour le moins importante. Dans son édition du jour, L’Economiste soutient que le fonds d’investissement privé panafricain réaffirme sa mobilisation pour la sauvegarde du climat. La COP22 est aussi l’occasion pour la holding de manifester sa volonté de participer activement, comme les autres acteurs privés, à l’élaboration de réponses aux défis climatiques.
L’Economiste rappelle, en citant une source au sein du groupe, que la SNI, sous l’impulsion royale et conformément à la stratégie tracée par son management, ouvre la voie à l’Afrique. Plusieurs de ses filiales sont déjà présentes dans de nombreux pays d’Afrique subsaharienne. Il est évidemment question d’Attijariwafa bank, de Managem et d’Optorg.
Mais sa percée africaine, la SNI la structure autour de partenariats forts avec de grands opérateurs internationaux, leaders dans leur secteur, à l’image de l’accord signé avec Lafarge Holcim, en juillet dernier. Nareva s’est aussi illustrée en concluant un accord de partenariat avec Engie pour renforcer leur collaboration au Maroc et l’étendre en Afrique. Il s’agira de projets de production d’électricité et de services énergétiques dans le continent. Nareva n’en est pas à son premier essai et dispose déjà d’un portefeuille d’actifs énergétiques diversifiés dépassant les 3.000 MW en énergies renouvelables.
Managem, de son côté, s’est bâtie autour d’un modèle opérationnel qui prend en compte son environnement et ses parties prenantes. Dans cette stratégie, le groupe s’est doté d’une charte de développement durable pour démonter son respect des normes environnementales et sa maîtrise des risques industriels.