Selon nos informations, Omar Faraj aurait fait valoir ses droits à la retraite. Il aurait préféré se consacrer à sa famille après des années de dévouement exclusif au service de l’Etat.
Le départ de Omar Faraj intervient à un moment où le Maroc s’apprête à se doter d’une loi-cadre fiscale qui devra servir de référentiel pour les lois de finances à venir. Les principes directeurs de cette loi ont été entérinées lors des assises de la fiscalité, en mai dernier, un événement préparé et réussi par la DGI après de longues mois de labeur et de mobilisation sous la houlette de Omar Faraj.
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Grand commis de l’Etat, ayant dédié toute sa carrière à l’administration, Omar Faraj laisse derrière lui un bilan hautement honorable à la DGI.
L’identifiant commun de l’entreprise (ICE), la réforme fiscale, la digitalisation des services de l’administration fiscale, l’ouverture sans précédent de l’administration auprès des contribuables, autant de réalisations qui témoignent du succès du travail mené par Omar Faraj.
L’amélioration considérable des recettes fiscales sous son mandat en est la parfaite illustration.